Comment choisir des prothèses pour une augmentation mammaires ?

Comment choisir des prothèses mammaires ? Quelles sont celles qui offrent le résultat le plus naturel, le plus de sécurité, le meilleur rapport qualité / prix ? La plupart des femmes désireuses de faire pratiquer une augmentation mammaire se trouvent démunies lorsqu’il s’agit de choisir des implants. Si la qualité d’une prothèse mammaire se juge sur la forme, le toucher n’est pas un critère négligeable. Si le but est d’imiter le mieux possible la forme du sein, il convient également de donner un effet tactile équivalent au sein naturel.

Choisir les bons implants pour une augmentation mammaire

Au toucher : Sérum Physiologique ou Gel de Silicone ?

Avant toute chose, il est à souligner que l’utilisation des implants en sérum physiologique est de plus en plus boudée par les chirurgiens et leurs patientes, pour de multiples raisons évoquées ci-après. Au toucher, la prothèse mammaire en gel de silicone est effectivement celle qui offre le plus de naturel. Le sérum physiologique reproduit rarement les mêmes sensations au toucher que le gel de silicone. Seule une solution plus cohésive sous la forme d’un gel et non d’un liquide permettra d’obtenir un résultat difficile à discerner au toucher d’un sein naturel. La prothèse mammaire en sérum physiologique peut parfois générer des plis palpables sur les cotés. Parmi les prothèses pré-remplies en gel de silicone, le Dr Laurent Halimi utilise en priorité les prothèses à taux de remplissage optimum avec des gel cohésifs, afin d’éviter le risque d’apparition de plis, notamment chez les femmes maigres. En outre, ce type de prothèse présente un taux de rupture et de coque moindre.

Les cicatrices de l’augmentation mammaire, selon l’implant choisi

A l’issue d’une augmentation mammaire par implants, les cicatrices sont incontestablement plus discrètes avec le sérum physiologique. En effet, les prothèses mammaires gonflables au sérum physiologique s’insèrent sous le muscle pectoral. Les cicatrices générées ont une longueur de 2,5 à 3 cm. Insérées sur ou sous le muscle pectoral selon les cas, les prothèses remplies au gel de silicone induisent quant à elles des cicatrices de 4 à 5 cm.

Le prix des implants, selon la substance de remplissage

Côté prix, l’avantage est au sérum physiologique ! Incorporé en usine dans la prothèse mammaire, le gel de silicone est un gel cohésif, avec un volume fixé par le fabricant. Le sérum physiologique est lui constitué d’eau salée. Contrairement aux implants pré remplis de gel de silicone, les prothèses mammaires gonflables au sérum physiologique sont remplies par le chirurgien qui peut ainsi adapter, dans une certaine limite, le volume de la prothèse pendant l’implantation mammaire.

Durée de vie des implants

La durée de vie des prothèses mammaires remplies de sérum physiologique est illimitée, les prothèses se gardent jusqu’à leur éventuelle rupture. Les implants au gel de silicone ont quant à eux une longévité de 12 à 15 ans. Les dernières conclusions du Congrès de La SFCP recommande une surveillance échographique régulière du sein à partir de la cinquième année suivant l’intervention. L’échographie évalue alors l’usure de la prothèse, permettant le dépistage précoce d’une éventuelle rupture. L’IRM reste le meilleur moyen d’évaluer l’état de la prothèse, tout comme l’état de la glande.

En cas de rupture de la prothèse mammaire ?

Avec une prothèse mammaire en sérum physiologique

Le sérum physiologique a le très grand mérite d’être instantanément bio-résorbable en cas de rupture de l’implant et le remplacement de celui-ci est aisé. En revanche, le dégonflement rapide d’une prothèse mammaire en sérum physiologique n’est pas vraiment apprécié. Surtout, la consistance de cette substance n’est pas celle d’un sein normal. En situation rétro-glandulaire, en particulier chez les femmes maigres, la prothèse mammaire en sérum physiologique est palpable voire visible, avec des « vagues », des plis de l’enveloppe apparents. Quand elle est en situation rétro-musculaire, le sein se mobilise souvent lors de la contraction du muscle pectoral.

Avec une prothèse mammaire en gel de silicone

En cas de rupture de l’implant, le gel de silicone n’est quant à lui pas résorbable. En cas de rupture intra-capsulaire, le nettoyage de la loge d’implantation de la prothèse mammaire est malaisé car le gel est visqueux. En revanche, les prothèses mammaires internes en gel de silicone ont une consistance parfaitement naturelle, même lorsqu’elles sont rétro-glandulaires. La rupture intra-capsulaire n’a aucune conséquence esthétique et son traitement peut être légèrement différé. Le Dr Halimi utilise prioritairement des prothèses en gel cohésif car elles montrent un taux de rupture et de coque moindre.

Adresse du cabinet de chirurgie esthétique

Afin d’obtenir de plus amples informations sur les implants ou si vous désirez faire pratiquer une augmentation mammaire à Paris, le Dr Laurent HALIMI vous reçoit sur RDV et vous conseille.

Dr L. HALIMI

225 rue du Faubourg Saint Honoré (75008)

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